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Des millions de personnes (dont moi) sont affectées par l’alimentation émotionnelle. Même si la nourriture peut être à la fois délicieuse, excitante et réconfortante, l’utiliser pour compenser les émotions comme l’anxiété, la solitude, l’ennui ou la douleur ne fait que soulager temporairement. Et c’est souvent accompagné d’une culpabilité par la suite. Heureusement, il y a quelques astuces pour arrêter ce cercle vicieux.
Trouvez du soutien pour contrer l’alimentation émotionnelle
Une personne sur deux à peu près déclare que le fait de se gaver provient des changements d’humeur. Donc vous n’êtes très probablement pas le seul dans ce cas-là. Tandis que certaines relations sociales peu motivantes peuvent être un déclencheur potentiel, le soutien peut aider. C’est particulièrement vrai pour les personnes stressées de nature. Ce soutien peut apporter de l’aide dans la maîtrise de l’alimentation émotionnelle. Il faut donc améliorer votre environnement social en vous éloignant des personnes négatives. En parallèle, rapprochez-vous des personnes en qui vous avez confiance (familles, amis, collègues, etc.). Vous pouvez également vous trouver une communauté dans divers groupes. Utiliser la force et le soutien des autres peut vous aider à surmonter ces émotions difficiles sans vous tourner vers la nourriture.
Parlez de vos déclencheurs
Il va falloir affronter l’ennemi. Pour lutter contre l’alimentation émotionnelle, il faut faire face à ces émotions qui vous envoient vers la nourriture. En reconnaissant ces émotions, vous êtes honnête envers vous-même. Parfois, une simple conversation peut même révéler de nouvelles émotions que vous n’aviez jamais associées avec le fait de manger. Par exemple, il est possible que dans certaines situations sociales stressantes vous avez plus de chances de manger. Une fois que vous avez identifié vos déclencheurs émotionnels, vous allez être beaucoup plus en contrôle sur votre alimentation émotionnelle.
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Alternatives alimentaires
Lorsque vous essayez de surmonter un comportement indésirable, ça aide (et c’est naturel) de remplacer une habitude par une autre. Une fois que vous avez parlé de vos déclencheurs émotionnels alimentaires, réfléchissez à des alternatives pour la prochaine « crise« . Par exemple une nouvelle habitude que vous pourriez prendre est d’immédiatement appelé un ami, un membre de votre famille, ou quelqu’un qui vous soutient. Deux têtes valent mieux qu’une, donc plus vous avez d’idées, plus vous serez préparé.
Substituts physiques
Une super stratégie pour prévenir d’une alimentation émotionnelle c’est de remplacer l’alimentation avec un bref exercice physique. Physiquement, l’exercice réduit le stress et l’anxiété. Il atténue l’ennui et libère des endorphines. Vous pouvez demander à une personne qui vous soutient de vous rejoindre. Ca diminuera d’autant plus le sentiment de solitude et d’anxiété. La prochaines fois que vous sentez venir une envie de manger, appelez un ami pour une session de 20 minutes. Ca peut même être simplement faire le tour du pâté de maison.
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L’alimentation émotionnelle est plus commune que ce que vous pensez. Donc n’ayez pas peur de chercher du soutien dans votre cercle social. Le soutien peut être une composante très importante dans la route pour la guérison.